Le jeudi 18 février 2021, notre ami Abou Ciré Dia nous a quitté après 4 longs mois de maladie. Il est parti pour toujours, laissant un vide qui fait peur. Car il était le moteur d’un système que nous avions mis en place et qui nous liait tous, grands et petits, hommes et femmes, jeunes et vieux. Il était cet homme qui savait parler à tout le monde, sans exception et sans langue de bois. Des politiques aux religieux, en passant par les acteurs de développement, Abou Ciré Dia était ce trait d’union qui arrivait toujours à trouver les solutions aux problèmes qui se posaient aux uns et aux autres. Il était infatigable, plein d’énergie et plein d’engagements sur tout ce qui est en rapport avec le développement de notre région d’origine. 

La Faderma perd en lui un vrai ambassadeur surtout auprès des ainés, car il les exporter tous, toujours à participer aux efforts que les jeunes fournissent dans le cadre de la coopération décentralisés. Il aimait bouger et faire bouger les choses. Il était le seul septuagénaire qui participait à toutes les réunions et qui ne refusait jamais de s’afficher avec les jeunes qui ont l’âge de ses petits-fils. Dieu va surement nous aider à combler ce vide que nous laisse Abou Ciré Dia, mais nous garderons toujours de lui l’image de cet homme plein de vie et de bonne humeur. Toujours rieur et parfois taquin, nul n’est parfait mais Abou Ciré Dia est une personne qui sait toujours se mettre au niveau pour être la hauteur de tout un chacun. A sa famille éplorée : ses deux épouses, Diarra et Mouna, à ses enfants et petits-enfants, a ses frères et sœurs, à l’ensemble des ressortissants de Ourossogui et à tous les habitants de Mantes la jolie, nous adressons nos condoléances les plus attristées.

Nous disons YOO ALLAH YURMO MO YAAFOO MO; AAAAAMIIN